Les3 films Moi Moche et Méchant ont été des énormes succès (surprise) dans le monde entier. A la fois pour leurs scénarios, leurs personnages (Gru et les fameux Minions notamment), mais aussi par son style humoristique et graphique. Analyse de l'oeuvre J'ai du mal à saisir cette profusion d'oeuvres à connotations nostalgiques autour des années 1980 qui semble envahir les écrans ces deux-trois dernières années, y compris dans certains récents films d'animation ! Est-ce parce que la plupart des artistes actuels avoisinent la cinquantaine ? Ils ont donc d'immenses regrets sur une période de leur adolescence, voire de jeune adulte, qu'ils s'efforcent de retrouver artificiellement dans leur vie actuelle ? Si encore le film se prête au thème et s'inscrit dans une époque bien précise à la rigueur pourquoi pas, même si la nostalgie est un concept que je n'ai jamais saisi, mais quand un personnage se borne à rester enfermé dans une période totalement révolue, cela crée un anachronisme difficilement justifiable pour ceux qui n'y sont pas sensibles, tout autant que cette situation est incompréhensible pour la jeune génération. Moi, moche et méchant 3 est justement de ceux là, un grand film fortement baigné de nostalgie des années 1980. Nostalgie qui ne sert pas vraiment l'intrigue, si ce n'est à proposer quelques gags jouant sur cette période révolue en débordant aussi sur les années 1990, même si je reconnais que ce troisième volet s'en sort mieux que le second, tout autant que la parenthèse oubliable Les minions. Mais dans tous les cas de figure, il n'arrive jamais à la cheville de l'ingéniosité du premier volet, définitivement le seul épisode marquant de la saga. Plus les numéros s'incrémentent, moins le personnage de Gru est intéressant. Dans Moi, moche et méchant 3, on assiste au syndrôme Shrek où un personnage résolument antipathique est devenu tellement lisse au fil des épisodes qu'il a fini par ne plus avoir de raison d'être. Après lui avoir flanqué des enfants, puis une femme, Gru voit maintenant débarquer son frère jumeaux caché, Dru. Celui-ci est une sorte de miroir inversé du premier, il vit dans le luxe, possède une impressionnante crinière blonde, et profite sans honte de la vie. Son seul défaut il est affreusement puéril. Tout semble ainsi les opposer, si ce n'est un tout petit point de détail ils ont tous les deux été rejetés par leurs parents. En retrouvant ses origines, Gru se laisse entraîner par Dru dans une folle mission dont chacun d'eux espère tirer une gloire bien différente. Pour décrédibiliser ce duo pour le moins improbable, Gru et Dru doivent affronter l'antagoniste Francis Cabrel... euh, non, pardon... Balthazar Bratt, un ancien enfant Star dont la carrière fulgurante, tout autant que tragique, rappelle fortement celle d'un certain Macaulay Culkin. Ce méchant improvisé, incapable de vivre avec son époque, reste coincé à celle de sa pré-adolescence, combattant l'adversité à coups de Malabar sur des airs musicaux très rétros. Bref, dans Moi, moche et méchant 3, ça gesticule, ça parle, ça rigole, mais sans réels enjeux puisque le scénario n'est pas vraiment le point fort du film. Le long métrage se contente surtout d'aligner une multitudes de péripéties, plus comiques qu'épiques, jouant simplement sur le côté décalé de Dru et Gru. Plus gênant, entre ces scènes, Moi, moche et méchant 3 tente maladroitement de justifier la présence des trois filles, Margo, Edith et Agnès, dont l'intérêt n'était intéressant, et justifiable, que dans le tout premier volet de la saga. Dans les deux volets suivants, les trois gamines ne sont plus que des éléments de mobilier, comme s'il s'agissait d'éléments de décors indispensables aux aventures de Gru. Le problème, c'est qu'à chaque nouveau film, elles sont vidées de leur substance, comme Gru d'ailleurs. Déjà très anecdotiques dans le second volet, Margo, Edith et Agnès ne servent plus à rien du tout si ce n'est à arrondir les angles et, surtout, à justifier le retournement final. On retrouve à peu près la même chose du côté de Lucy, qui offrait une dynamique amoureuse dans le second volet, une dynamique qui s'est immédiatement évaporée puisque les deux se sont mariés à la fin de Moi, moche et méchant 2. Là où Moi, moche et méchant 3 trouve finalement grâce, c'est là où on l'y attend le moins les minions. Véritables boulets sans cervelles, et faux cousins éloignés des célèbres Lapins Crétins, les minions ont toujours été la plus grosse entrave portée par la saga. En les mettant au centre de l'intrigue de Moi, moche et méchant 2, cela avait d'ailleurs complètement aggravé leur cas, surtout quand on ne les supportait pas ! Assez curieusement, leur rébellion dans Moi, moche et méchant 3 s'avère une vrai bouffée d'oxygène qui arrive, presque, à les rendre sympathiques. Quand les minions décident de voler de leurs propres ailes, ils réalisent bien vite que sans quelqu'un d'assez habile pour les rassembler, ils finissent par être rejetés par tous, sans compter le clivage qui s'installe entre eux. Les minions se lancent alors dans une étonnante campagne de réhabilitation de Gru, en vivant une aventure parallèle beaucoup moins absurde qu'auparavant. Les minions se dotent soudain d'une conscience, font preuve d'ingéniosité, et échafaudent un plan d'évasion audacieux afin de rejoindre leur ancien camarade ! Côté technique, Moi, moche et méchant 3 s'offre pour la première fois un format large de type Cinémascope. Le choix est finalement plutôt heureux puisqu'il colle résolument bien au style des films d'espionnage, même si celui-ci est avant tout comique. Le studio Illumination fait preuve d'un certain talent pour doser correctement tout ce qui est visible à l'écran, alors que le format est plus élargi que dans les trois volets précédents, préquelle comprise. Le film s'amuse régulièrement avec ce nouveau format en remplissant plusieurs fois l'écran d'un élément de décors, d'un objet, d'un véhicule, voire carrément d'un personnage, suffisamment "larges" pour remplir une grande partie l'écran et jouer ensuite une farce aux spectateurs. Dans l'ensemble Moi, moche et méchant 3 est propre, coloré et fluide, quand bien même il joue sur différents registres. Au contraire de l'image, la bande originale du film offre un mélange pas forcément bien choisi car elle fait le grand écart entre tubes rétros, typiques des années 1980, avec des titres contemporains mal assortis. De plus, la surabondance de ces titres occulte complètement le travail de Heitor Pereira, dont on ne retient absolument aucun air une fois le film terminé excepté le thème de Gru, mais parce qu'il est ancré dans notre esprit depuis le premier film. C'est dommage, parce qu'il y avait du bon caché sous ces nombreux tubes anglophones. Dans les faits, Moi, moche et méchant 3 fait mieux que les deux précédents films de la franchise, mais reste définitivement bien loin de l'ingéniosité du tout premier Moi, moche et méchant, anticonformiste par excellence. Depuis, Gru s'est bien trop assagi pour réussir à se démarquer dans un monde où les héros des longs métrages animés sont relativement formatés et se ressemblent tous. Même si ce long métrage se termine une fois encore sur une fin ouverte, il serait vraiment sage de laisser ces personnages en paix. D'une part, ils ont fait leur temps, d'autre part, ils n'ont absolument plus rien à démontrer. Gru s'est peu à peu métamorphosé, il a des filles, il a une femme, il a maintenant une fratrie, bref, il a perdu tout le mordant qui le caractérisait autrefois. Comme ce film n'est pas mauvais en soit, c'est aussi une belle occasion de s'arrêter au bon moment. C'est à dire dès maintenant ! Olivier Kosinski - 26 janvier 2018

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Moi, Moche et Méchant 3, dans les salles le 5 juilletUn film de Kyle Balda et Pierre CoffinAvec Steve Carell, Kristen Wiig, Trey Parker et Pierre CoffinSynopsis Le studio Illumination qui vous a fait découvrir la saga MOI MOCHE ET MECHANT et LES MINIONS, les plus gros succès d’animation en 2013 et 2015, continue de vous faire partager les aventures de Gru et Lucy, de leurs adorables filles Margo, Edith et Agnès et des Minions dans MOI MOCHE ET MECHANT avoir été mis à la porte de l’Agence Vigilance de Lynx pour avoir fait capoter la capture du dernier méchant qui menace l’humanité, Gru se retrouve en pleine crise identitaire. Mais quand un mystérieux individu se présente pour l’informer de l’existence d’un frère jumeau – cherchant désespérément à le rencontrer pour suivre les traces de son détestable jumeau – l’ancien super méchant va rapidement se souvenir à quel point il fait bon d’être Carell prête à nouveau sa voix à Gru, mais s’offre aussi un deuxième rôle, celui de Dru, le frère jumeau longtemps disparu. Kristen Wiig reprend le rôle de la super espionne Lucy, alors que Trey Parker, lauréat d'un Emmy, d'un Tony et d'un Grammy Award rejoint le casting et prête sa voix au méchant Balthazar Bratt, un enfant star qui, devenu adulte, reste obnubilé par le rôle qu'il a interprété dans les années 80. L’ennemi juré de Gru le plus redoutable et comique est prêt à prendre sa revanche sur Hollywood et quiconque se mettra en travers de son par Pierre Coffin et Kyle Balda, co-réalisé par Eric Guillon et écrit par Cinco Paul et Ken Daurio, le film est produit par Chris Meledandri et Janet Healy pour Illumination. Chris Renaud est le producteur délégué. Moi, moche et méchant 3 bande-annonce
Descriptionsur Moi, moche et méchant 3 - Le film. Synopsis : dans ce troisième volet, Balthazar Bratt, un ancien enfant star, obnubilé par le rôle qu'il a interprété dans les années 80, veut détruire des villes entières en les faisant exploser avec un chewing-gum ! Il va devenir l'ennemi juré de Gru, l'ex plus grand méchant de la planète, Cinéma Gags jouissifs et élaboration soignée, le film réitère la recette de la franchise gentiment régressive. L’avis du Monde » - à voir Apparue en 2010, la franchise Moi, moche et méchant est l’histoire d’une insolente success-story élaborée à cheval sur deux pays. Si la production est américaine Universal Pictures, Illumination Entertainment, on doit la réalisation au studio français Mac Guff, devenu franco-américain après le rachat par la société de production cinématographique Illumination. Le mélange est d’autant plus inédit que la franchise compte à ses débuts deux réalisateurs Pierre Coffin, qui, après des études de cinéma à la Sorbonne, a poursuivi dans la prestigieuse école des ­Gobelins, et Chris Renaud, qui ­débuta comme écrivain pour Marvel et DC Comics et comme dessinateur pour les programmes télévisés de Disney. Sorti en janvier 2010 sur les écrans français, le premier Moi, moche et méchant comptabilisa plus de 3 millions d’entrées, suivi d’un deuxième volet à 4,6 millions de spectateurs. Un triomphe en salle que l’on doit notamment à un intensif matraquage publicitaire et l’écoulement d’innombrables produits dérivés, à tel point que Pierre ­Coffin s’est lui-même plaint de l’agressive stratégie marketing d’Universal. Encore aujourd’hui, le nouvel opus inonde les rues et les réseaux sociaux, jusqu’à prendre le risque de lasser ses fans les plus fidèles. Mais la mission est en partie réussie, car on peut ne jamais avoir vu un seul épisode de la franchise et s’être pourtant familiarisé avec leurs vedettes, les Minions, ces petites pilules jaunes vêtues d’une salopette, de gants de travail et d’une grosse paire de lunettes de protection. Le Minion en français larbin » se déplace en bande et met son savoir-faire au service de Gru, super-méchant professionnel qui deviendra vite un gentil héros. A priori, rien de révolutionnaire dans le monde très compétitif de l’animation, rien du moins qui ne laissait présager un tel phénomène viral. Coup de génie marketing La conception de cette petite boule animée qui ne paye pas de mine s’est pourtant vite muée en coup de génie marketing. D’abord vouées à n’être que des personnages secondaires s’agitant en arrière-plan, ces créatures ont suscité un tel engouement qu’elles ont donné lieu à un spin-off Les Minions, sorti en 2015. Le film fut l’occasion d’apprécier l’inventivité à l’œuvre dans ces petites machines burlesques marmonnant une drôle de bouillie polyglotte dont on devine vaguement le sens. Chaque geste, chaque expression est l’occasion d’un gag purement régressif, avec l’impression d’avoir plongé la tête dans un bain d’émoticônes. Si bien que l’on pourrait s’alarmer d’une telle adhésion du public à un univers qui, semble-t-il, fidéliserait ses spectateurs en les ramenant à des réactions purement infantiles. Mais s’en inquiéter serait ne pas comprendre à quel point la franchise, avec l’indéniable puissance visuelle qui est la sienne, porte cette régression à de tels niveaux qu’elle finit par se retourner en commentaire aussi subtil que facétieux. Si les Minions ont pu rencontrer un public adulte, c’est qu’ils débarquent à une époque où bon nombre de spectateurs ne cachent plus leur goût pour les petites créatures inoffensives et les vidéos idiotes. Ere de l’ironie amusée et du ­ second degré régressif que les Minions investissent pleinement et, disons-le, génialement. Canevas banal Car le coup marketing ne serait rien sans son supplément d’âme les films. Chaque nouvel opus, plus ou moins inspiré mais toujours habité, témoigne d’un véritable soin apporté à leur exécution formelle autant que scénaristique. C’est ce que vient confirmer ce troisième volet de la série Moi, moche et méchant. On retrouve Gru, sa compagne Lucy, leurs trois filles adoptives et bien évidemment la tribu des Minions. Communauté d’autant plus sympathique qu’elle s’est bricolée au fil des films et s’élargit par la découverte de Dru, le frère jumeau de Gru. Evincé de la Ligue contre les malfaisants, Gru tente de regagner son poste en combattant par ses propres moyens Balthazar Bratt, star oubliée des années 1980 qui cultive son res­sentiment contre une industrie qui l’a délaissé et désire se venger contre l’humanité tout entière. L’humanité menacée, gentils contre méchants à partir de cette ossature très classique, Moi, moche et méchant 3 arrive pourtant à se déprendre de la monotonie qui le guette en affûtant ses scènes comme autant de moments autonomes, diluant progressivement ce banal canevas dans une débauche de gags, de micro-récits et de personnages, brassant un grand n’importe quoi aussi poétique que jouissif. Le souci du détail et des gags imperceptibles en arrière-plan, qui font tout le prix de cette franchise, témoignent du fait que ses créateurs restent d’authentiques orfèvres désireux de rester à la hauteur du phénomène. L’honneur est donc sauf la grosse machine à divertissement nous prouve une nouvelle fois qu’elle est encore habitée par des artisans attentifs. Film d’animation de Pierre Coffin, Kyle Balda, Eric Guillon 1 h 30. Sur le web , Murielle Joudet Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. 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Synopsis du fim "Moi, moche et méchant 3" Dans ce troisième volet, Balthazar Bratt, un ancien enfant star reste obnubilé par le rôle qu'il a interprété dans les années 80. Il va

Le succès du troisième film à l'international lui permet de passer en tête du classement. Un moche et méchant détrône un ogre vert. Grâce à un week-end où il a encore généré plus de 26 millions de dollars dans le monde, "Moi, moche et méchant 3" pointe actuellement à plus de 879 millions de dollars de recettes depuis sa sortie au début de l'été. Ce score phénoménal permet à la franchise de cumuler à ce jour 3,53 milliards de dollars depuis les premiers pas du grand méchant Gru en 2010. À lire aussi Cinéma Box-office France Petit démarrage pour "Les vieux fourneaux 2" et "Esther 2" Cinéma Box-office US La locomotive "Dragon Ball" détrône "Bullet Train" Cinéma "Saw" Un dixième opus de la saga horrifique sortira au cinéma en 2023 Cinéma "La différence entre Netflix et le cinéma" Le Grand Rex approuve les scènes... Ce score inclut les trois films "Moi, moche et méchant", mais aussi le spin-off "Les Minions", sorti en 2015 et qui a fait mieux que les trois autres films en passant la barre du milliard de dollars de recettes à lui tout seul ! Grâce à ces chiffres qui donnent le tournis, "Moi, moche et méchant" devient officiellement la franchise de films d'animation la plus lucrative de l'histoire. Elle passe en effet devant "Shrek", dont quatre films et le spin-off "Le Chat potté" ont généré 3,51 milliards de dollars. En revanche, si l'on exclut les spin-off, les trois "Moi, moche et méchant" ont encore un peu de retard sur les quatre "Shrek". Gru et ses trois filles cumulent à ce jour 2,39 milliards de dollars de recettes, contre 2,96 milliards pour les quatre films de la franchise "Shrek".

LeGRU est un ce que l'on fait de mieux en terme de "méchant", un véritable pro, désagréable et fier de l'être. Il est assisté par un inventeur, le Dr vieux Nefario, et ses serviteurs fidèles minions. Retrouve toutes les pages d'Hellokids en rapport à "Moi, moche et méchant" (Despicable Me en version originale.)
Les Minions, Gru, Lucy et les filles sont de retour ! Après le succès incroyable du premier et du deuxième volet, "Moi, moche et méchant 3" débarque au cinéma le 5 juillet 2017. Le film d'animation pour enfants promet du rire et de l'émotion en que Gru, totalement déprimé par sa mise à pied, tente de trouver une nouvelle voie, un mystérieux individu se présente pour l’informer du décès de son père. Dans la foulée, il lui annonce l’existence d’un frère jumeau prénommé Dru qui a exprimé le désir d’une rencontre. Ébranlé par la nouvelle, Gru interroge sa mère qui avoue son secret après avoir donné naissance à des jumeaux, elle a divorcé en faisant la promesse à son ex-mari de disparaître totalement de sa vie en échange d’un des enfants. Tout en précisant, en substance, qu’elle n’a pas eu son mot à dire et que Gru n’est somme toute qu’un second Gru, tout d’abord enthousiasmé à l’idée d’avoir un frère, se rend avec Lucy et les filles dans son île natale, Freedonia, pour rencontrer son jumeau, il déchante vite quand il découvre que Dru est nettement supérieur à lui, et ce en tout point. Là où Gru est un misanthrope aussi dépourvu d’emploi que de cheveux, Dru arbore une masse capillaire impressionnante, un charisme naturel et une fortune colossale héritée de son père et de son élevage de cochons. Gru est rapidement miné par un sentiment d’infériorité, quand Dru lui révèle sa faille leur père n’a jamais vu en lui l’étoffe d’un méchant, et de ce fait ne l’a pas formé dans cette direction qui est pourtant la marque de fabrique de la son aide, ils pourraient à eux deux perpétuer la tradition familiale. Gru se sent alors investi d’un rôle de grand frère» et lui livre les secrets de l’utilisation des gadgets ultra-sophistiqués de leur père avec l’intention d’en profiter pour mettre hors d’état de nuire l’insaisissable Balthazar Bratt. Mais cette alliance se voit sérieusement menacée par un cas aggravé de rivalité gémellaire qui va vite les dépasser et les handicaper face à un ennemi à l’envergure encore spin-off a aussi vu le jour le 8 juillet 2015 Minions ! Et les "Minions 2 Il était une fois Gru" en 2022 !Retrouvez "Moi, moche et méchant" et "Moi, moche et méchant 2". Mis à jour par Charlotte Loisy le 16 nov. 2021 Article créé le 17 janv. 2014
Moimoche et méchant. Mis à jour le 25 février 2016, publi é le 3 février 2011. Afficher tout le contenu. En ce moment. Des milliers de poissons morts dans l'Oder font craindre un désastre Publié le 05/07/2017 à 1420, Mis à jour le 05/07/2017 à 1424 REVUE DE PRESSE - Le dernier film des studios Illumination n'a pas convaincu les médias. La magie a disparu, la saga s'est essoufflée, gâchée notamment par l'aspect marketing. Les nouvelles aventures de Gru ont perdu de leur éclat. Pas faute d'y avoir fait des efforts pour se renouveler. Le film d'animation introduit un nouveau personnage Dru, le frère jumeau du héros de l' deux se ressemblent mais sont totalement opposés. Gru est perdu, chauve et sans un sou. Quand Dru est beau, riche et comblé. Ensemble ils veulent reprendre l'entreprise familiale et être les plus grands vilains du monde, mais pour ça ils doivent évincer la concurrence en la personne de Balthazar Bratt, une ancienne star de cinéma reconvertie dans le mal après avoir disparu des écrans.» Lire aussi - Le Grand Méchant Gru ne fait plus peur Cette histoire n'a décidément pas convaincu notre consœur du Figaroqui juge que les auteurs de la saga à succès semblent ne plus savoir quoi inventer pour perpétuer la franchise», même la découverte du frère jumeau de Gru est une déception leur relation ne relève pas le niveau» est devenu trop gentil et est père de Inrocksparle de scénario sans inspiration [...] qui paradoxalement multiplie les enjeux existentiels de ses protagonistes tout en refusant de les faire évoluer». Le critique constate que l'essence même du film a disparu le concept contenu dans le titre est épuisé mais c'est faux, il n'existe plus [...] c'est Nous Mignons et gentils».La magie a disparu, la saga s'est essoufflée alors qu'une suite pointe le bout de son nez avec les Minions 2 en 2020. Est-ce une bonne nouvelle?» se demande Ouest Francequi déplore que les Minions ne surprennent plus» et la relation entre Gru, Lucy et leurs filles ne recèle plus beaucoup d'enjeux».Trop de franchise tue la franchiseLe Mondequi a un temps soit peu apprécié le film malgré un canevas banal» voit avant tout dans Moi, Moche et Méchant 3 un coup de génie marketing». Mais ce coup de génie» en horripile plus d'un. La Croixdésapprouve le manque de sincérité» et regrette que Moi, moche et méchant 3 ressemble ainsi davantage à l'exploitation commerciale et cynique d'une franchise juteuse».Gru face au méchant de l'histoire Balthazar ce n'est pas non plus des métaphores qui arriveront à décrocher l'étiquette de produit marketing. Notamment quand une figurine géante du méchant détruit les lettres de Hollywood certes, c'est bien vu, les franchises et le merchandising sont en train de bouffer l'industrie du cinéma. Mais le reconnaître avec ce genre de clin d'œil, dans le troisième volet d'une entreprise, dont la seule raison d'être est désormais de produire des figurines vouées à s'échouer dans des boîtes Happy Meal, est d'un cynisme qui ne fait vraiment pas rire» s'agace Libération. RL3I49. 175 291 457 316 412 313 201 341 317

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