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© Bertrand BéchardPortrait Journaliste, essayiste et éditorialiste réputé, Bruno Jeudy reste fortement attaché à ses racines angevines. Article publié dans le magazineAnjou&Vous de novembre 2020 Parce que l’info n’attend pas, Bruno Jeudy est un homme pressé. Depuis la rentrée, l’éditorialiste est à l'antenne quatre soirs par semaine sur BFM TV. Il apparaît également régulièrement sur France 5, dans l’émission C dans l’air ». Pourtant, jamais il ne reniera son amour de la presse écrite. Devenu journaliste un peu par chance », branché en permanence sur l’actualité politique pour le meilleur et pour le pire », Bruno Jeudy jongle entre les plateaux de télévision et la rédaction de l’hebdomadaire Paris Match. Entre décryptages en direct et reportages de fond. Réactions et anticipation. Un exercice stimulant, schizophrénique », qu’il renouvelle chaque semaine depuis 2016, tel un infatigable coureur de fond. Ce qui tombe bien la course à pied est son autre passion, transmise de père en filles, et il la pratique souvent en Anjou. Le journaliste et essayiste, qui a fait ses armes à Ouest-France puis dans les pages locales du Parisien Les planètes se sont alignées à ce moment-là. Mais l’arrivée à Paris, la découverte des banlieues, a été un choc culturel énorme pour moi à l’époque », entretient une relation de longue date avec le Maine-et-Loire, où il a grandi et fait une partie de ses études. Entre deux bouclages et tournages, il se ressource dans la capitale angevine, à Bouchemaine et Cantenay-Epinard, où une bonne partie de sa famille et de sa belle-famille résident. J’adore flâner dans les rues du centre-ville d’Angers. Et courir le long de la Maine, ou autour de l’étang Saint-Nicolas. J’ai dû participer trente fois au cross du Courrier de l’Ouest ! »J’adore flâner dans les rues du centre-ville d’Angers. Et courir le long de la Maine, ou autour de l’étang Saint-Nicolas. J’ai dû participer trente fois au cross du Courrier de l’Ouest !Un retour aux sources régulier et salvateur pour ce travailleur acharné, qui commente la vie politique depuis 1995 et a voyagé dans le monde entier dans les pas des présidents et des ministres. Après Le Parisien, Bruno Jeudy a travaillé pendant cette période au Figaro, puis au Journal du Dimanche, avant de prendre la tête du service politique / économie à Paris Match. Cette évolution m’a permis d’éviter de tomber dans la répétition, de me renouveler, aussi », vie intense de grand reporter, à laquelle on devient vite accro », a cédé en partie la place à celle d’analyste expérimenté, habitué aux débats enflammés dans la petite lucarne. Lorsque vous êtes tous les jours à la télé, vous ne pouvez pas mettre tout le monde d’accord », résume-t-il avec lucidité. Inquiet de voir les nouvelles générations délaisser les journaux pour s’informer avant tout sur les réseaux sociaux, Bruno Jeudy part ce jour-là rencontrer une classe de lycéens aux Ponts-de-Cé, pour évoquer les transformations de la presse écrite et numérique. Et informer, encore et express1963. Naissance à Débuts dans le journalisme à Ouest-France après des études angevines. 1995. Entrée au service politique du quotidien Le Parisien2014. Rejoint Paris Match en tant que rédacteur en chef politique/économie2016. Devient éditorialiste politique sur la chaîne BFM TV Retour à la liste des actualités
BrunoJeudy 07/10/2021 à 07:11. La candidate socialiste peine à décoller dans les sondages, seulement créditée de 4 à 7% des intentions de vote. Anne Hidalgo n’aime pas la politique du
Friedrich Nietzsche, ce vieux showrunner allemand qui s’y connaissait en décapitation d’idoles et en analyse de mythes anciens, nous avait prévenus Qui trop combat le dragon devient le dragon lui-même ». En d’autres termes, quiconque en fait trop ne conquiert pas pour autant la liberté et prend le risque de devenir ce à quoi il s’oppose. Eh bien, il semblerait que HBO soit à son tour tombé dans le piège le plus vieux du monde. En lançant House of the Dragon », nouvelle série inspirée par le succès des huit exténuantes saisons de Game of Thrones », la chaîne américaine relayée par OCS en France, a créé une copie encore plus médiocre que l’original. Bien sûr, cette production arrivant juste avant la sortie des Anneaux du Pouvoir », autre série d’heroic fantasy servant de produit d’appel au concurrent Prime Vidéo, lui permet de faire l’événement. Le visionnage de cette vidéo est susceptible d'entraîner un dépôt de cookies de la part de l'opérateur de la plate-forme vidéo vers laquelle vous serez dirigée. Compte-tenu du refus du dépôt de cookies que vous avez exprimé, afin de respecter votre choix, nous avons bloqué la lecture de cette vidéo. Si vous souhaitez continuer et lire la vidéo, vous devez nous donner votre accord en cliquant sur le bouton ci-dessous. Seulement, au regard des premiers épisodes de cette saison inaugurée cette nuit, il semblerait que l’effort soit vain. Dès la séquence d’ouverture, la gêne affleure, le paysage du continent Westeros et le décor de la ville Port-Real semblent empruntés à un mauvais jeu vidéo, le dragon sur lequel chevauche l’héroïne sent plus le pixel que le souffre tandis que le château-cathédrale où va se dérouler une grande partie de l’intrigue ne dépareillerait pas à Disneyland suite après la publicitéLa sainte trinité complot-combat-fornication avec la même inclination pour une violence aussi crue que vaineNous sommes en l’an 172 avant l’éternel hiver de Game of Thrones », et pourtant le critique est déjà saisi du même effroi. Au bout de quelques minutes, les défauts sur l’armure du prequel sautent aux yeux. La musique de Ramin Djawadi est si lourde qu’elle ferait passer John Williams et Hans Zimmer pour Erik Satie, les traits de caractère des personnages principaux comme certaines retouches couleur, font mal aux yeux tant ils sont voyants. Ainsi, le roi Viserys Ier Paddy Considine, en déficit flagrant de charisme est faible et veule, on a calqué sa fille, Rhaenyra, intelligente et courageuse héroïne, sur la Daenerys de GOT », et Daemon, le frère du Roi est, comme son prénom l’indique, démoniaque, brutal et instable. Quant aux personnages secondaires, conseillers, seigneurs et courtisanes, ils manquent eux-aussi de chair et profondeur. Est-ce parce que Le Dernier Duel », film de Ridley Scott, pas exempt de défauts lui non plus mais au réalisme médiéval inspiré, est passé par là que tout semble de CGI et de carton-pâte ? A ce titre, les scènes de joute entre chevaliers ne souffrent pas la comparaison. Surtout quand le beau-gosse attitré de la saison remporte bien entendu son combat contre le méchant officiel. House of the Dragon »Les amateurs de GOT » retrouveront néanmoins la sainte trinité complot-combat-fornication dans le même ordre, avec la même inclinaison pour une violence aussi crue que vaine. Aussi, on se permet de rappeler au réalisateur du premier épisode, Miguel Sapochnik, qu’après avoir montré un homme se faire castrer à l’épée, il est inutile de filmer en gros-plan le reliquat. D’autres faiblesses font plutôt sourire comme la diversité des accents britanniques dans une contrée plus que fictive. Malheureusement, le casting, qui de Peter Dinklage à la Montagne/Thor Björnsson apportait du crédit à Game of Thrones », est cette fois-ci, à l’exception de Rhys Ifans, particulièrement faiblard pour un projet à 200 millions. Surtout, on se demande comment un scénario reposant sur des alliances et des trahisons prévisibles à des kilomètres a pu être validé par HBO, terre des récits aussi bien écrits que complexes comme Succession ». Peut-être la faute en revient-elle au showrunner Ryan Condal dont le parcours, de la série Colony » à deux films avec Dwayne Johnson Hercules », Rampage », ne plaide pas en sa faveur. Ou au livre Feu et Sang » de George Martin, d’où est tirée cette adaptation. Le visionnage de cette vidéo est susceptible d'entraîner un dépôt de cookies de la part de l'opérateur de la plate-forme vidéo vers laquelle vous serez dirigée. Compte-tenu du refus du dépôt de cookies que vous avez exprimé, afin de respecter votre choix, nous avons bloqué la lecture de cette vidéo. Si vous souhaitez continuer et lire la vidéo, vous devez nous donner votre accord en cliquant sur le bouton ci-dessous. Série créée par George R. R. Martin et Ryan J. Condal. Avec Paddy Considine, Emma D’Arcy, Matt Smith, Olivia Cooke, Milly Alcock, Rhys Ifans 2022, 10 x 60 min. Disponible sur OCS, à partir du 22 août, chaque lundi.
Lejournaliste Bruno Jeudy, dont le départ de Paris Match a été annoncé la semaine dernière. Abaca. La Société des journalistes du magazine estime que le départ